Le nom de Vlkodlak (mot tchèque signifiant « le loup-garou » ou « le poivrot du village ») est adopté à l'été 2000 par cinq musiciens de Neuchâtel et Lausanne. A ses débuts, Vlkodlak pratique un metal au croisement du black, du heavy, du metal atmosphérique, voire du gothique ou du rock progressif. Le groupe, alors composé de Marie Jordi (guitare), Céline Decollogny (claviers), Stéphane Materna (chant, guitare), Ludovic Evard (baterie) et Nicolas Soguel (basse) donne alors quelques concerts, notamment à la Case à Chocs de Neuchâtel. Après le départ de Ludovic suivent deux ans de vaches maigres en attendant le batteur idéal. Pour finir, Olivier Voirol intègre le groupe à la fin de l'année 2002. Vlkodlak a désormais un nouveau répertoire, de nouveaux morceaux qui intègrent de plus en plus d'éléments folk et acoustique ; Stéphane s'impose comme le principal compositeur du groupe. Malheureusement Marie quitte le navire fin 2003, laissant Vlkodlak dans une situaion délicate.